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Ces derniers mois, le monde de l'IA a suivi avec attention les développements de DeepSeek. La start-up chinoise qui a fait sensation dans le secteur de l’IA a prouvé, avec son modèle « R1 », qu'il est possible d'atteindre des performances comparables à des produits concurrents tels que ChatGPT d’OpenAI ou Llama de Meta en utilisant bien moins de ressources. Cette évolution ne fait pas seulement avancer le progrès technologique, elle modifie également le débat sur la démocratisation et la structure des coûts de l'IA. Mais que signifient concrètement ces innovations pour les entreprises et leurs initiatives en matière d'IA ?

Découvrez le modèle RAG (Retrieval-Augmented Generation) d'adesso : une percée dans l’univers de l’IA, qui améliore les grands modèles linguistiques (LLM) grâce à l’exploitation d’informations externes actualisées. Ce modèle offre le potentiel d’exploiter des solutions d'IA plus intelligentes et rentables, en s'adaptant dynamiquement aux nouvelles informations.

Sur l’ensemble des discussions que nous avons avec nos clients, pratiquement toutes portent désormais sur la GenAI. Cela soulève dès lors quelques questions : « le secteur de l'assurance est-il prêt pour la GenAI ? » et « comment devrais-je procéder pour lancer un projet GenAI ?». Ce sont ces deux questions que nous avons souhaité mettre en lumière dans cet article.

Nous souhaitons aujourd’hui aborder des questions souvent laissées de côté au sujet de l'intelligence artificielle, mais qui n’en sont pas moins pertinentes.

Les considérations d’ordre éthique devraient être au premier plan du développement de l'IA afin d'en exploiter tout le potentiel, tout en minimisant ses conséquences négatives.