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Dans le premier article de blog intitulé« De l'outsourcing au smart sourcing », je me suis penché sur la stratégie de sourcing et sur le fait que les entreprises parviennent aujourd'hui mieux à mettre en place ce que l'on appelle des « stratégies multi-fournisseurs » ou des modèles de sourcing « best-of-breed ».

La digitalisation progresse à un rythme effréné. Les nouveaux développements et les révolutions technologiques transforment des secteurs entiers tandis que la pression concurrentielle ne cesse d’augmenter. En parallèle, de nombreuses entreprises doivent faire face à des obstacles opérationnels tels que la pénurie de personnel qualifié, la pression croissante relative aux coûts et les exigences réglementaires de plus en plus complexes. Cette dynamique oblige les entreprises à remettre en question les stratégies établies jusqu’ici et à les réorienter.

Les services informatiques de nombreuses entreprises sont souvent surchargés par l'exploitation de leurs applications. En effet, les responsables informatiques se retrouvent constamment occupés à installer des mises à jour, à en surveiller les performances et à réagir rapidement en cas de dysfonctionnement. En somme, un travail très insatisfaisant et fatigant pour des professionnels de l'informatique bien rémunérés.

Ces derniers mois, le monde de l'IA a suivi avec attention les développements de DeepSeek. La start-up chinoise qui a fait sensation dans le secteur de l’IA a prouvé, avec son modèle « R1 », qu'il est possible d'atteindre des performances comparables à des produits concurrents tels que ChatGPT d’OpenAI ou Llama de Meta en utilisant bien moins de ressources. Cette évolution ne fait pas seulement avancer le progrès technologique, elle modifie également le débat sur la démocratisation et la structure des coûts de l'IA. Mais que signifient concrètement ces innovations pour les entreprises et leurs initiatives en matière d'IA ?

L'ingénierie des exigences dans les projets agiles nécessite une approche plus dynamique et adaptable, conçue pour évoluer en permanence et pour recevoir le feedback de l'équipe et des parties prenantes.

À l'ère du numérique, la gestion des technologies de l'information et de la communication (TIC) est un facteur essentiel du succès de toute entreprise. La norme minimale TIC de la Confédération constitue un cadre d’orientation précieux pour rendre les TIC plus résilientes. Mais comment mettre en œuvre cette norme de manière efficace ?

L'architecture d'entreprise (EA) est un puissant outil d’optimisation des coûts informatiques. En analysant et en modélisant systématiquement leur infrastructure informatique, les entreprises peuvent identifier les processus inefficaces et les optimiser. Cela permet non seulement de réduire les coûts, mais aussi d'accroître l'agilité et la capacité d'innovation.

De nos jours, la classification du trafic réseau (NTC) est un outil essentiel pour classer le trafic dans des catégories représentant différents services de réseau. La catégorisation des services est fondamentale dans plusieurs domaines tels que la sécurité, la gestion et l'optimisation de la qualité de service.

Dans l’univers de la gestion de projets, il existe aujourd’hui diverses approches méthodologiques pouvant être choisies en fonction des exigences et des caractéristiques du projet. Les deux méthodes les plus importantes sont : la gestion de projet classique et la gestion de projet dite « agile ». Ces deux approches ont bien entendu leurs avantages et leurs inconvénients et le choix d’une méthode en particulier dépendra fortement des exigences spécifiques du projet et des conditions à respecter. Penchons-nous sur le sujet et découvrons ensemble quelle méthode semble être la plus adaptée à votre projet.